Rachis et activités

Le Rachis et les activités

step premier pas

Vous vous demandez quelles activités sont bonnes pour votre dos

On dit que courir c’est mauvais. La natation, ça dépendrait de la nage…
La marche est TOUJOURS recommandée (mais pour vous c’est douloureux), bref, vous êtes dans une de ses situations :

Vous faîtes et ça fait mal.
Vous faîtes et ça va, mais vous ne DEVRIEZ pas.
Vous hésitez.
Vous culpabilisez
Vous êtes terrorisé et jouez la carte du statu quo.
Quelle que soit votre situation, détendez-vous ! Nous allons partager avec vous le cheminement pour vous en sortir. Rassurez-vous, c’est simple à utiliser, éprouvé et efficace.

Tout d’abord, pourquoi bouger ?

Notre corps cicatrise grâce à notre alimentation qui parvient jusqu’à la zone blessée.
Cette zone est parfois peu vascularisée, c’est-à-dire que le sang n’y pénètre pas facilement et surtout pas abondamment. J’utilise souvent l’image des briques lego. Il y a un trou à boucher, les briques sont dans le sang, notre objectif est de permettre aux briques d’atteindre la zone.
Là vous l’avez déjà compris, c’est le mouvement puis l’exercice qui augmente la circulation et la distribution de ses briques.
En bonus l’activité permet de mieux dormir et joue un rôle antalgique.

Quand bouger ?

Dès que vous le pouvez !
Stade A comme ATTENTE :
Douleur hyper insupportable, ça pince de partout, bouger est impossible. Laisser passer l’orage. 3jours, 1 semaine, 10 jours au maximum. Puis commencez à marcher un peu.

Stade B comme Bouger :
Trouvez l’activité qui convient. Voir « Quoi faire ».

Stade C comme Consolidation :
Mettez en place une stratégie de musculation sur cette activité. Chaque jour un peu plus. Certains jours autant mais plus vite ou plus difficile.

Stade D comme Diversification :
Vous avez atteint un niveau d’autonomie sur la première activité et vous pouvez commencer à courir d’autres lièvres. Une nouvelle activité par jour pour analyser ce qui « passe » de ce qui ne « passe » pas.

Quoi faire ?

Toutes les activités, oui je dis bien TOUTES les activités peuvent être bonnes ! MAIS pas pour tout le monde. C’est comme l’humour,
nous pouvons rire de tout mais pas avec tout le monde. A défaut d’avoir consulté un professionnel qui pourrait vous orienter, essayez
l’activité que vous préférez, vous n’aurez pas de problème de motivation pour être régulier. Il est possible qu’elle ne convienne pas. Ce serait trop beau que ça fonctionne dans 100% des cas.
Le conseil « bateau » est d’aller marcher car plus de 50 % d’entre
vous auront une amélioration avec cette pratique. Cependant ! Certains
vont « s’allumer », se faire plus (+) mal et parfois insister. Il faudra
alors changer d’activité. Essayez le vélo, la nage (celle que vous voulez) etc…
Et surtout, respecter le dernier point qui suit : Quand s’arrêter !

Quand s’arrêter ?

Le mouvement doit être un médicament.
Il doit vous permettre de passer une meilleure journée, de mieux tolérer votre gène, les transports, la nuit… Il doit vous permettre de bouger plus amplement, de façon plus fluide et légère. Dans l’idéal, il vous permettra aussi de moins ressentir votre sciatique si toutefois vous en aviez une.
Le dos réagit vite. Très vite. Vous allez à la piscine ? Vous DEVEZ être
mieux -ou aussi bien- en sortant. Si vous êtes aussi bien, vous pouvez
considérer que vous investissez dans le futur en vous renforçant et en
« nourrissant » de briques Lego votre blessure. Vous serez mieux
bientôt.
Si vous êtes moins bien, il y a 3 stratégies :
1- Faîtes moins la prochaine fois (si cela est possible, selon la quantité)
2- Changer de nage
3- Changer d’activité
Vous pouvez appliquer ce raisonnement à tous vos mouvements. Essayer de faire moins.
Si l’amélioration ne vient pas : changez de sport ou de technique !
Vous faîtes de la gymnastique le matin ?
Posez-vous la question : Suis-je mieux après ?
C’est clairement cette question qui va VOUS donner VOTRE itinéraire dans la reprise d’activité.

Bon cheminement !

Nous serons là pour vous accompagner si le besoin s’en fait sentir.

L’épaule : Un carrefour de possibilités

L’épaule : un carrefour de possibilités

L’analyse du problème est le secret d’un traitement efficace.
L’épaule comprend de nombreux muscles finissant en tendons -dont la coiffe-, des ligaments puissants, plusieurs articulations avec chacune leur spécificité et une bourse pour permettre à ce petit monde de cohabiter sans chahut.

L’épaule elle-même est connectée au système nerveux des cervicales, avec des possibilités d’interférence entre ses deux systèmes.
Enfin, l’épaule peut être la cause de douleurs irradiant dans le bras, la main, avec les autoroutes vasculaires et nerveux qui passent à son niveau.

Lorsque tout fonctionne correctement, l’épaule est une merveille d’ingéniosité.
Lorsque les pépins arrivent, avec toutes ses possibilités, ses hypothèses, avec chacune un traitement différent, une stratégie différente, avancer dans sa guérison devient difficile.

Votre épaule est unique. L’utilisation que vous en faites est unique.
Elle nécessite donc une analyse personnalisée pour aboutir à une conclusion puis un traitement. Cette conclusion n’est validée UNIQUEMENT que lorsque le traitement apporte le bienfait escompté. Votre ressenti est notre objectif premier.
En clair, vous libérer !

Lors de notre premier rendez-vous, vous repartirez avec des informations précises sur votre affection, l’attitude à adapter et la stratégie à mettre en place avec le plus souvent des exercices à réaliser à la maison. Vos exercices. A votre intensité.

Pour pouvoir vous aider prochainement, une action : prenez rendez-vous.

Massage détente : Massage Abdominal Asiatique

Massage Abdominal Asiatique ?

« Masser le ventre ? Quelle drôle d’idée ! »

On retrouve le ventre au cœur de nombreuses expressions telles que :

« avoir la peur au ventre »

« avoir le ventre noué »

« avoir les yeux plus gros que le ventre »

« il n’a rien dans le ventre »

« avoir des papillons dans le ventre » …

Le ventre occuperait donc une place centrale dans nos émotions.

De plus, l’intestin produirait 90% de notre sérotonine, l’hormone de la bonne humeur. Enfin, 80% de notre système immunitaire dépend de la qualité de la muqueuse de l’intestin grêle.

Alors pourquoi ne pas s’accorder un moment pour chouchouter notre ventre et ainsi se faire du bien, ressentir un bien-être ?

Massage abdominal

car comme son nom l’indique, il concerne la zone du ventre. Il permet de faciliter le transit intestinal en drainant les intestins et le colon.
Ce massage permet de mobiliser en douceur tous les autres organes avoisinants et améliore la circulation sanguine et donc les échanges entre les cellules.

Massage asiatique

car il stimule les différentes lignes d’énergie du ventre, les méridiens, ainsi que certains points d’acupuncture.

Ce massage, qui dure une heure, doit rester agréable. Toute zone sensible sera signalée afin d’adapter la pression exercée.

Il ne vous reste plus qu’à venir ressentir les bienfaits par vous-même !

Alors prêt à en profiter ? 

Doctolib : Motif : Massage abdominal asiatique

3 concepts pour avancer

Les 3 choses à savoir sur une approche scientifique de la rééducation du rachis.

1 Votre vécu avec votre pathologie est extrêmement utile pour comprendre ce qui vous arrive, autant ce qui vous afflige que ce qui vous soulage.

2 La douleur est du sable, rien ne se construit dessus, surtout pas un raisonnement.
Sa variation, augmentation ou diminution, est plus fiable. Vous allez mieux lorsque vous pouvez mieux bouger ou faire de nouveau des activités impossibles jusqu’ici.

3 L’objectif principal est que vous repreniez confiance en votre dos.
Lui aussi cicatrise, comme nos os, notre peau, nos ligaments…

Si votre problème perdure, faîtes vous aider.
Si rien ne change, rien ne change.

Voyez notre vidéo sur les premiers gestes à adopter pour votre lumbago, pour votre cervicalgie.

L’expertise des kinés au service de votre expertise.

Sujet qui fait mal !

La douleur et ses mécanismes

La douleur est une cause d’invalidité très fréquente dans la population, elle induit de nombreux arrêts de travail souvent longs, impacte la vie personnelle comme professionnelle et coûte cher à l’assurance maladie…

Pourtant, la définition même de la douleur ainsi que ses procédés sont trop souvent méconnus du grand public, et des personnes douloureuses elle-même !

En premier lieu, la douleur est une information sortante du cerveau lors d’une menace ou de la perception d’une menace.
Nul besoin d’un tissu déchiré ou d’une fracture, un simple pincement suffit à provoquer une douleur qui entraine une réaction.
Mordez vous la langue et vos muscles automatiquement ouvriront votre bouche. L’information désagréable se dissipe rapidement, la douleur n’est plus.

Utilité :

L’utilité de cette information est capitale, elle vous protège.
Parfois pendant plusieurs jours.
Quand vous avez un coup de soleil, la sensibilité de votre peau augmente, surtout concernant les informations thermiques. Une douche tiède devient difficile. Elle vous « brûle » !
Met-elle en danger pour autant vos tissus ? Une douche à 37°, votre température corporelle, peut-elle vous brûler ?
J’espère que vous serez d’accord avec la conclusion que, non, cela n’est pas possible.
Le système nerveux prend juste une marge d’erreur bien plus importante que d’habitude dans le but de vous protéger.

Dans le cas d’une douleur en lien avec une blessure, la douleur survient vivement. Logiquement, elle disparait après quelques jours ou semaines.
Lorsqu’elle persiste depuis plus de trois mois, cette douleur contient de moins en moins d’informations du tissu et de plus en plus d’informations du cerveau.

La mémoire de la douleur imprègne la sensation. Cette mémoire peut être comparée à la persistance rétinienne, lorsque nous regardons une ampoule quelques secondes, un point noir se forme pendant plusieurs dizaines de secondes.
S’ajoute à cela des informations comportementales, car après trois mois, parfois moins, nous avons appris à éviter d’utiliser ce muscle, cette articulation, en les mettant de côté.
Cette mise à l’écart n’est pas idiote si elle reste temporaire, hélas, notre cerveau, construit sur la réaction aux menaces, va interpréter ce schéma comme étant une prudence nécessaire.
Pour lui le tissu n’est pas fiable !
De ce postulat découle un manque de confiance, une désadaptation… et une douleur persistante.
N’hésitez pas à voir notre article sur l’adaptation.

Alors, l’œuf ou la poule ?

Le manque de mouvement sans douleur, amène le cerveau à interpréter chaque mouvement comme étant douloureux, même s’ils ne sont pas menaçant au niveau tissulaire, entrainant encore plus de craintes et donc moins de mouvement, moins de force et une sensibilité exacerbée.

Comme souvent, agir en amont de la survenue du problème est le plus efficace et le plus pertinent.
Cependant, des stratégies existent pour les personnes souffrant de douleurs chroniques. Avoir conscience des schémas expliqués ci-dessus est un début. Cela permet d’arrêter de papillonner de médecins en radiologues, pour finir parfois chez un chirurgien qui ne s’occupera que du tissu.
Or, après trois mois, le tissu est rarement dominant dans l’information douloureuse. Il en découle des déceptions autant du coté du chirurgien que du patient lui-même.

Pour approfondir ce propos, vous pouvez vous orienter vers les sites de références suivants :
RetrainPain.org (Ré-entrainer la douleur)
ExplainPain.org

Vidéo Youtube :
Le cycle des tables rondes de l’institut Sapiens, avec des experts de tous horizons.

Livre : Explain Pain

Stratégies de réducation pour un Osgood Schlatter

Osgood-Schlatter, le genou de l’ado !

Osgood Schlatter Knee Genou adolescent

Aujourd’hui, un éclairage sur une affection qui touche 10% des adolescents.
Ils sont alors susceptibles de ressentir des symptômes au genou durant jusqu’à 2 ans après l’apparition : la maladie d’Osgood-Schlatter, MOS pour les intimes !

Faisons table rase du passé, une stratégie a été prouvée comme obsolète : Le repos complet, la glace et les étirements si cela dure plus de 1 mois !
L’adolescent se retrouve dès lors déconditionné, peu musclé et il reprend le sport bien souvent plus tard à cause de cette longue période d’inactivité.

QUE FAIRE ?
Les protocoles approuvés font des exercices la pierre centrale du traitement à condition que la force développée lors du renforcement musculaire ne déclenche pas les symptômes ! C’est là où un professionnel peut vous aider, car la notion d’utilisation et de charge est centrale dans ce type de pathologie.

Tout d’abord, la MOS apparait lors d’une surutilisation du genou, précisément par traction sur la tubérosité tibiale antérieure. Les facteurs sont nombreux, la croissance joue le rôle de multiplicateur de contraintes à un âge où les entrainements sportifs se multiplient.
Vous le savez déjà si vous suivez ce site (sinon c’est ici), le corps est une machine adaptative incroyable. Capable de se renforcer à la demande pour peu que nous lui laissions le temps, que nous respectons sa temporalité propre.

Or, la MOS est une pathologie d’impatience, trop de contraintes, trop rapidement appliquées, pas suffisamment de repos entre les sollicitations… Bref, trop, trop vite.
Malheureusement une fois la mèche allumée, elle peut mettre beaucoup de temps à s’éteindre.

La solution :
Le retour au calme consiste à signer une paix des braves avec la tubérosité tibiale antérieure. L’écouter.
La remettre en charge, reprendre les exercices musculaires, précautionneusement, méthodiquement, patiemment.
Pour qu’elle l’accepte ET qu’elle se renforce.
Cette charge de travail doit être évaluée le plus précisément possible. Chaque minute d’entrainement doit être comptée et augmentée doucement de semaines en semaines. Chaque série d’exercice dosée, avec des progressions logiques et bienveillantes.

Les adolescents blessés attendent souvent plusieurs semaines avant de diminuer radicalement leur charge d’entrainement, ce qui semble être malheureusement une mauvaise stratégie.
Agir vite, lever le pied pour rapidement remettre le pied sur l’accélérateur en douceur, voilà le résumé de ce billet pour vous accompagner.
Enfin, sachez que 2/3 des participants à une étude reprenaient le sport à 6 mois, ce qui semble être le délai le plus courant en terme d’impact sur la pratique sportive.
La kinésithérapie est là pour vous accompagner tout au long du processus.
N’hésitez pas à commenter, liker & partager !

Pour voir plus loin :
Le point de vue médical, cliquez ici.

Sources :
1. Physioconnect Juillet 2020
2. Midtiby SL, Wedderkopp N, Larsen RT, Carlsen AF, Mavridis D, Shrier I (2018). Effectiveness of interventions for treating apophysitis in children and adolescents: protocol for a systematic review and network meta-analysis. Chiropr Man Therap.
3. Hall R, Barber Foss K, Hewett TE, Myer GD (2015). Sports Specialization is Associated with An Increased Risk of Developing Anterior Knee Pain in Adolescent Female Athletes. J Sport Rehabil.
4. Kujala O, Kvist M, Heinonen O (1985). Osgood-Schlatter disease in adolescent athletes. Am J Sports Med.

Syndrôme Douloureux Régional Complexe : SDRC

SDRC : Critères de Budapest

Les douleurs régionales chroniques, ou algoneurosdystrophie pour les joueurs de Scrabble, commencent à être mieux détectées, diagnostiquées et des solutions commencent à émerger.

Quels signes peuvent faire penser à cette affection ?

  • Une douleur régionale, continue, spontanée ou provoquée, apparemment disproportionnée en intensité ou dans son décours temporel par rapport à l’évolution habituelle d’un traumatisme ou de toute autre cause identifiée par le patient.
  • Cette douleur régionale ne correspond pas à un territoire nerveux périphérique.
  • Cette douleur est associée à un éventail de symptômes et de signes cliniques,
    qui prédomine le plus souvent en distalité sur le membre atteint, comme : moteurs, sensitifs, sudomoteurs, vasomoteurs, trophiques.
  • Les symptômes et signes cliniques sont variables dans le temps.

    Parlez-en à votre médecin ou à votre thérapeute.

3 informations sur la méthode Mckenzie

L’expert : C’est vous !

Les 3 choses à savoir sur la méthode McKenzie, ou MDT.

1 Votre vécu avec votre pathologie est extrêmement utile pour comprendre ce qui vous arrive, ce qui vous afflige et ce qui vous soulage.

2 Nos conseils ne sont valides que lorsqu’ils vous soulagent réellement, vous permettant de mieux bouger ou de faire des activités impossibles jusqu’ici.

3 L’objectif principal est que vous repreniez confiance en votre dos.
Lui aussi cicatrise, comme nos os, notre peau, nos ligaments…

Si votre problème perdure, faîtes vous aider.
Notre expertise au service de votre expertise.

Besoin de plus d’informations ?
La vidéo, c’est par là
Les rendez-vous, c’est par ici

Premier Rendez-Vous McKenzie

Prise en charge du RACHIS

Vous souffrez depuis quelques semaines, certains d’entre vous depuis plusieurs mois.

Vous avez rencontré de nombreux professionnels, fait de nombreux examens ou vous êtes encore en attente de ces rendez-vous…
Des réponses vous ont été apportées, des solutions mises en place et le résultat n’est toujours pas à la hauteur de vos espérances.
Vous aimeriez comprendre ce qui vous arrive et quelle est la première marche vers la guérison ?

Nous vous offrons la possibilité de prendre rendez-vous avec nous pour échanger, vous comprendre, vous examiner, partager votre parcours et vos expériences, vous informer par nos connaissances, pour aboutir à une stratégie validée, avec des points d’étapes clairement identifiés.

Ce rendez-vous vous donnera accès à des réponses.

Pourquoi l’IRM est « normale » ?
Est-ce ma hernie qui m’afflige ?
Dois-je aller marcher comme me le préconise mon médecin ou mes amis ?
C’est grave quand la douleur descend dans le bras ?
J’ai dû arrêter de courir mais j’envisage de recommencer, qu’en pensez-vous ?

Voici un florilège des questions qui reviennent le plus souvent.

C’est pourquoi, nous vous invitons à choisir un « Premier rendez-vous de méthode McKenzie » sur Doctolib, en cliquant ici.

Notez que ce rendez-vous comporte une partie d’échange d’informations de prévention qui ne sont pas remboursés par l’organisme d’assurance maladie.
Le premier rendez-vous est de ce fait plus long, comptez 50 minutes, et un complément d’honoraire de 40€ vous sera demandé. Par ailleurs, une facture vous sera délivrée en retour pour un possible remboursement par votre mutuelle.

Pour plus d’information sur la technique, le site afmck fait par des passionnés, est excellent !
En bonus : 3 infos sur la méthode

Corps & Adaptation

Le corps est une machine adaptative incroyable !

Vous souhaitez courir 10 km ? Vous souhaitez grimper en haut de votre montagne préférée ? Marcher sans devoir vous arrêter ?
En quelques semaines d’entrainement, l’objectif est atteignable.
Vous voulez aller tous les jours au travail en vélo ? Commencez par un jour par semaine puis augmentez progressivement.
Ces conseils de bon sens vous les connaissiez déjà. Vous aviez déjà expérimenté cette adaptation. Vous le sentiez…
Hélas, le corps s’adapte également à la sédentarité, à l’absence ou la diminution de l’activité physique.

Tout comme les astronautes, dans l’espace, les os et les muscles sans contraintes régulières, diminuent leur résistance et leur puissance. En clair, ils s’affaiblissent.

C’est pourquoi il est important de garder à l’esprit que cette machine adaptative va répondre au problème ou à la sollicitation, pour peu que nous lui laissions le temps.

Le temps de cicatrisation

Les cicatrisations cutanées, osseuses et ligamentaires se font sans rien demander…
Le temps est un médicament puissant.
Les muscles et les tendons doivent, eux, être utilisés pour cicatriser correctement. Là encore, le temps est un allié précieux.

Quand bien même les dommages seraient irréversibles, le corps, le mental s’adaptera après quelques mois, après avoir tout tenté…

C’est pourquoi je vous demande de respecter l’importance de la « salle d’attente ». Une salle entière est consacrée à notre allié dans tous les cabinets médicaux.

Si cela ne finit pas de vous convaincre…